Interrogatoire d’une petite vicieuse

Catégories : FANTASME
il y a 6 ans

Interrogatoire d’une petite vicieuse

J'ai toujours aimé me déguiser. Les tenues sexy, les jeux de rôle, devenir une autre me procure un sentiment si libérateur! C'est la meilleure façon pour moi de laisser libre cours à mes fantasmes, et j'ai toujours pris énormément de plaisir à m'apprêter, me métamorphoser pour un homme. Devenir la pute de son mac, la boniche du maître, l'infirmière du blessé.. les hommes bien sûr aiment souvent jouer le jeu. Mais avec Theo, c'est moi qui me suis fait surprendre, ce mec ne fait pas les choses à moitié... et bon dieu ce que j'ai pris!

Je suis arrivée chez lui un soir, pressée de retrouver son corps, son odeur, sa f o r c e masculine. Je m'imaginais, sur le chemin, comment nous allions nous regarder en coin, nous rapprocher en douceur autour d'un verre pour faire durer l'attente et monter l'excitation.

J'ai frappé à sa porte après avoir vérifié une dernière fois que mes bas étaient bien mis. Quand il m'a ouvert, il était habillé en flic: la tenue complète, avec casquette et menottes. Mon coeur a raté un battement, le s a n g m'est monté à la tête;

"Mademoiselle, mettez vos mains derrière votre dos et retournez vous"

J'ai obéi docilement. Il m'a passé les menottes, ma culotte s'est mise à devenir humide.

"Passons dans la salle d'interrogatoire"

Je l'ai suivi dans son salon, où il avait installé une unique chaise au milieu de la pièce, éclairée d'une grosse lampe, et... une caméra, qui diffusait directement l'image de la chaise sur son écran de télévision. Il m'a guidée jusqu'a la chaise, assise dessus de f o r c e en m'appuyant sur les épaules. En m'asseyant, ma jupe trop courte est remontée et a révélé la dentelle de mes bas, et ma petite culotte à la caméra dont l'angle était bien bas.. De me voir comme ça attachée, sur cet écran, m'a fait un effet fou, l'excitation faisait déjà pointer mes seins tendus par la pose cambrée que je prenais à cause des menottes. j'écartais mes jambes millimètre par millimètre, regardant ma culotte sur l'écran, pendant que monsieur "m'interrogeait"

"Mademoiselle, inutile de nier, nous savons tout. Sale petite vicieuse! Vous avez été une bien vilaine fille! Avouez!"

Jouant les midinettes, je faisais mine de rougir, je niais, "je ne comprends pas monsieur le commissaire", mais ma respiration devenait haletante, mes jambes maintenant bien écartées, le "commissaire" s'amusait à caresser l'intérieur de mes cuisses d'une grosse lampe torche.

"On va vous faire parler, vous allez voir.. Ah petite salope, regardez comme rien que d'y penser vous mouillez!"

Et c'était vrai, ma culotte commençait à se tacher d'une petite goutte, et je voyais ca en grand écran, éclairé par la lampe torche.

"Ne me faites pas de mal!" et en disant cela j'espérais qu'il me v i o l erait.. j'appelais la t o r t u r e .

"Puisque vous ne voulez pas parler, on va vous occuper la bouche autrement, petite chienne!"

Alors il a dégrafé son pantalon

"Regarde, comme elle est dure ma matraque, elle te plait hein?"

Il m'a attrapée par les cheveux dans la nuque, en me caressant avec la lampe torche à travers ma culotte maintenant trempée, et a appuyé ma tête contre son sexe, dur et dressé. Il m'étouffait contre son bas-ventre, me forçant à ouvrir la bouche pour respirer, chercher de l'air. Alors, il a pris ma bouche et l'a enfoncée sur sa queue raide, profondément.. J'ai gémi, plus excitée que jamais.

"Comme ca tu voudrais parler maintenant salope? Eh ben tu vas attendre! J'en ai pas fini avec toi!"

Il a commencé à aller et venir, guidant ma tête pour que je le suce en douceur et en profondeur. Chaque fois qu'il s'enfonçait au fond de ma gorge, il me donnait une petite tape sur le clitoris avec sa lampe torche. Quand il l'a glissée sous ma culotte, le froid sur mes lèvres trempées m'a fait presque jouir..

Juste quand je n'en pouvais plus, m'entendant gémir un peu plus fort, le "commissaire" s'est retiré.

"Lève toi, on va enlever cette petite culotte, elle est trempée! Tu vois que tu es une vilaine fille, alors, tu avoues petite vicieuse?"

Je me suis levée, il a glissé ma culotte le long de mes jambes, et avant que je puisse répondre il l'a chiffonnée et me l'a enfoncée dans la bouche comme un bâillon. Il a dégrafé mon chemisier, sorti mes seins de mon soutien-gorge, pincé un peu mes tétons..

"Elle est bonne, ta chatte? Je parie qu'elle est bonne. Mets toi à genoux, là"

Il m'a allongé le buste sur la chaise, les genoux par terre, écrasant mes seins conte le siège, et remontant ma jupe par dessus mes fesses. je sentais le goût de ma mouille sur ma culotte, et le liquide chaud couler le long de mes cuisses, je tremblais. Il m'a tourné la tête pour que je me regarde sur l'écran.

"Regarde toi, salope, Regarde, j'vais t'baiser, tu vas la sentir ma matraque"

il s'était agenouillé derrière moi, m'écartait les fesses, effleurait mes lèvres de ses doigts et toujours de sa lampe torche.

Alors il a pris la caméra en main, me faisant voir en gros plan mes fesses écartées, mes lèvres gonflées d'excitation, ma chatte trempée, et il m'a enfoncé d'un coup sa queue bien dure, fort, me poussant contre ma chaise. Il m'a giflé le cul, mes fesses devenaient rouges, ma chatte était en feu, et malgré mon bâillon, je gémissais de plus en plus fort, j'étais à nouveau sur le point de jouir, mais je ne pouvais pas me toucher, puisque mes mains était toujours attachées derrière mon dos par les menottes..

Alors, n'en pouvant plus, le plaisir prenant le dessus sur le jeu, je me suis redressée. Quelle erreur! Je me suis fait attraper par les cheveux et traîner jusqu'au lit

"Alors, on se rebelle, petite chienne? t'as pas encore compris qui est le maître ici!"

Il m'a jetée sur le lit, sur le dos, et m'écartant les cuisses de ses mains est revenu à l'attaque, me baisant de plus en plus fort.

Prenant pitié, et voyant que je n'en pouvais plus, il s'est mis à caresser mon clitoris de son pouce, se lançant à chaque fois plus fort au fond de ma chatte. Alors il a enlevé mon bâillon, et j'ai explosé, hurlant

"Oui je suis une chienne j'avoue! c'est bon! j'aime votre matraque, enfoncez la bien, je veux la sentir!" On a joui ensemble, fort, je hurlais, il me disait "tiens salope, tu l'as voulu, ça vient!" il était loin au fond de moi, j'ai senti les spasmes de son sexe qui répondaient aux contractions du mien, senti le liquide chaud au fond de ma chatte..

Il s'est effondré sur moi, haletant, et après quelques secondes s'est redressé et m'a lancé, espiègle:

"Je vous avais bien dit, nous avons les moyens de vous faire parler..."

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